Cimetières de l'agglomération


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Amfreville-la-Mi-Voie
Le cimetière se trouvait initialement autour de l'église Saint-Remi, situé sur le mont du même nom, au sud de la commune. Il est resté au même endroit, alors que l'église a été transférée au milieu du bourg.


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Anneville-Ambourville

Les églises des deux paroisses qui ont fusionné en 1975 pour former Anneville-Ambourville ont toujours leur cimetière.
L'église d'Anneville est sous le patronage de Notre-Dame-de-l'Assomption, celle d'Ambourville, de Saint-Rémi.
 


Cimetière d'Anneville


Cimetière d'Ambourville

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Bardouville
Le cimetière est toujours autour de l'église Saint-Michel .


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Belbeuf


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L'église Notre-Dame est encore entourée de son cimetière. Les anciens marquis de Belbeuf y ont été enterrés. On voit encore la dalle qui recouvre la sépulture de Jean-Pierre Prosper Godart de Belbeuf (1725-1811) en face du portail principal de l'église.
Un if de plus de 600 ans orne toujours le cimetière.
 
Berville-sur-Seine
Le cimetière est au sud de l'église Saint-Lubin.


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Bihorel


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Pendant longtemps, le cimetière de Bihorel était celui de Bois-Guillaume. C'est en 1833 qu'un terrain fut acheté dans le but de créer une cimetière. Il fallut attendre 1894 et la création de la commune pour l'aménager. le préfet interdira la construction d'un calvaire au motif que le cimetière doit être ouvert à tous les cultes (loi de 1881) En 1898, on tournera la décision préfectorale en érigeant une croix imposante sur la tombe d'un prêtre, l'abbé Dorville.
C'est dans le cimetière qu'est érigé le Monument aux morts de la première guerre mondiale. Il a été inauguré en 1920.
 
Bois-Guillaume
Quelques tombes de prêtres et de religieuses qui entourent le calvaire.
La plus notable est celle de Monseigneur Julien Loth (1837-1913) surmontée d'un gisant.
Parmi les tombes notables, il faut signaler celle du peintre Robert-Antoine Pinchon (1896-1943) et celle de la famille Gascard.
Le cimetière comprend un carré militaire.
 


Gisant de Mgr Julien Loth


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Tombe du peintre R.-A. Pinchon

 
Bonsecours

Il y a eu un cimetière autour de l'ancienne église de Blosseville. Jusqu'au milieu du XXe siècle, on a conservé l'habitude d'accrocher des couronnes aux grilles de la basilique en souvenir de ce cimetière.Le nouveau cimetière a été créé en 1840, suite à la construction de la basilique par l'abbé Godefroy. C'est la partie basse du cimetière actuel. La partie haute a été ajoutée en 1905 et une petite extension s'est faite vers le bas après la seconde guerre mondiale.
La première sépulture fut celle d'un ouvrier, François-Basile Pesnel, tué lors des travaux de l'église.
Quelques personnalités y sont enterrées, comme Emile Buisson (1811-1869), président de la Ligue Patriotique Rouennaise, ou les supérieurs de l'Institution Jouin-Lambert : l'abbé, Jouin-Lambert (1812-1857), l'abbé Flavigny (1837-1925), la famille La Moissonière-Yvose.


Carte postale ancienne

La plus connue des sépultures de Bonsecours est celle de la famille Hérédia.
Six membres de la famille du grand poète José-Maria (1842-1905) sont inhumés dans le cimetière.
La modeste tombe est entourée d'une simple grille de fer, mais elle domine le magnifique panorama de la ville.

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Boos

Le cimetière entoure l'église Saint-Sauveur. Au XVIIIe siècle, il était planté d'arbres dont les fruits était une des ressources du curé. Ce fut l'origine d'un conflit avec l'abbaye de Saint-Amand. Les arbres, plantés trop près de l'église étaient à l'origine de dégradations de l'édifice. Les pommiers furent sacrifiés en 1739, ainsi que le vieil if.
La croix avait été offerte par jean-Baptiste des Roches en 1730.
A la fin du XVIIIe siècle , on enterrait encore dans l'église. Les droits étaient de 3 livres par corps. Une année, 8 sépulture s'y firent.
Vers 1860, on décida de rétablir les murs du cimetière.


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Canteleu


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L'église Saint-Martin avait son cimetière. Il en reste quelques traces dans le jardin qui l'entoure.
le nouveau cimetière est situé non lion de là, en bordure de la route de Duclair.
 
Caudebec-les-Elbeuf
On a retrouvé des sépultures antiques.
L'ancien cimetière se trouvait autour de l'église Notre-Dame. Il a été déplacé au sud de la commune, en bordure du massif boisé, au Val aux Monts. La décision a été prise en 1849 mais ne put aboutir. C'est en 1860 que conseil vota une imposition extraordinaire de 29.000 Frs pour la construction de la clôture.


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Cleon
   
 
Darnétal


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Darnétal avait deux églises : Carville et Longpaon. Chacune avait son propre cimetière. celui de Carville avait une superficie conséquente, ce qui était loin d'être le cas de Longpaon.
En 1817, le Conseil Municipal délibéra que, provisoirement, les défunts de Longpaon seraient enterrés à Carville pendant une partie de l'année (de Pâques jusqu'à la Saint-Michel). Du fait de l'antagonisme entre les deux paroisses, la solution ne pouvait être acceptée. Deux mois plus tard on décida d'acheter un terrain pour construire un nouveau cimetière. Mais on n'avait pas voté le budget nécessaire ! Les habitants adressèrent une pétition au Préfet. En 1819, une nouvelle délibération vota 8.000 Frs pour l'achat du terrain d'une superficie de 2 acres et l'aménagement. On avait vu trop juste et il fallut porter la somme à 16.000 Frs l'année d'après.
Le nouveau cimetière a été béni en décembre 1821. Il est situé au bas de la côte qui domine la ville à l'est, au long de la route de Gournay.
Un carré, séparé du reste par une haie, avait été réservé pour l'inhumation des Protestants.

 
Déville les Rouen

Le cimetière se trouvait devant l'église Saint-Pierre. Il était orné d'un calvaire datant du XVIe siècle. On en voyait encore la base vers 1946.
Un nouveau cimetière a été créé à l'est de la ville, de l'autre côté de la voie ferrée, en bordure du Bois-L'Archevêque.


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Duclair


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Des sépultures mérovingiennes ont été découvertes au XIXe siècle.
Comme il était d'habitude, un cimetière entourait l'église de Duclair. Un calvaire était situé au nord-est. Il avait été reconstruit en 1749. Une visite de l'archevêque de Rouen en 1717 indique qu'il était clos de murs assez peu élevés au nord et à l'est et de haies sèches sur les autres côtés.
Le nouveau cimetière se trouve à l'est de la ville, sur le plateau. Il avait été créé en 1835 et avait amené la destruction d'une partie des remparts du retranchement antique du Catel.
En 1959, on a transféré dans ce cimetière les sépultures de la chapelle du Vaurouy.

 
Elbeuf
Il y avait des cimetières autour des églises Saint-Etienne et Saint-Jean.
Le cimetière entourant l'église Saint-Jean a été déplace en 1783 et définitivement fermé en 1831. Il a été remplacé par un nouveau cimetière Saint-Jean situé au sud de la ville, sur la hauteur.
Le cimetière contient un calvaire qui avait été érigé en 1765 à la barrière de Paris.
Il contient quelques tombes célèbres comme celle de Jean Gaument (Ferdinand Verrier, 1879-1931), Professeur et écrivain, Pierre Noury (1818-1894) professeur de dessin et naturaliste, ainsi que nombre de tombes juives rappel de l'importance de cette communauté dans l'industrie textile elbeuvienne.


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Epinay-sur-Duclair


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Le cimetière se trouve au sud de l'église Saint-Martin.
On y voit encore un calvaire de pierre imposant du XVIe siècle.
 
Fontaine-sous-Préaux
Du fait de la capture des sources du Robec par la ville de Rouen, le cimetière ne pouvait pas rester aux abords de l'église. Il a donc été déplacé sur l'autre versant de la vallée, vers l'est.


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Franqueville-Saint-Pierre


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Le nouveau cimetière est au nord de l'agglomération.
 
Freneuse
Le cimetière est au nord du village, au pied de la pente.


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Grand-Couronne


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Le cimetière entourait l'ancienne église dédiée à Saint-Martin.
Les projets de création d'un nouveau cimetière datent de 1878. Ils sont dus à l'essor démographique de la commune et à l'intégration du hameau des Essarts. Deux cimetières étaient prévus, un à Grand-Couronne, l'autre aux Essarts.
A l'occasion des travaux de restauration de l'église, en 1883-86, il a été décidé de le transférer dans le nouveau cimetière. Au début du XXe siècle, il y avait encore des tombes autour de l'église comme on le voit sur les cartes postales de l'époque.
Il est maintenant transformé en jardin public.
 

 
Grand-Quevilly

Un cimetière mérovingien existait dans la partie nord de la commune, là où se trouve maintenant l'usine AZF. Un sarcophage découvert lors de la construction de l'usine, en 1929, est conservé dans le jardin du Musée Départemental des Antiquités.
Comme partout, on enterrait autour de l'église paroissiale. Le développement démographique conduisit à créer un nouveau cimetière en 1839. Madame de la Châtre offrit un terrain situé à un endroit dénommé "la Fosse sablière". Le cimetière fut inauguré le 25 juillet 1841. Le premier à être inhumé fut Prosper Aumont, membre du conseil de fabrique et ancien adjoint de la commune.
Un monument aux morts militaires a été élevé en 1896.
Un nouveau et vaste cimetière a été créé entre le vieux et le nouveau bourg.


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Hautot-sur-Seine


 

Quelques tombes subsistent près de l'ancienne chapelle du château. Ce sont celles des seigneurs du lieu et de leur famille.
Le nouveau cimetière a été créé au nord, en bordure des champs.


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Hénouville

Le cimetière qui se trouvait autour de l'église Saint-Michel a été déplacé à l'ouest du village, en bordure du plateau.
Les tombes sont disposées en éventail autour de la porte d'entrée.


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Houppeville


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Le cimetière entoure encore l'église Notre-Dame.
Un if millénaire ombrageait les allées. Un calvaire daté du XVIe siècle est composé d'une croix métallique plantée sur un socle de pierre. Il a été édifié en souvenir des morts sans sépulture. La base comporte une niche. On pense qu'elle servait à abriter des reliques.
Une extension est en cours au sud-est.

 
Isnauville
Le cimetière se trouve à l'ouest du village, à l'orée de la forêt.


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Jumièges


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Le cimetière se trouve autour de l'église.
 
La Bouille
Le cimetière se trouve maintenant au sud du pays, dans la côte qui mène à la Maison-Brûlée.


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La-Londe

Le cimetière se trouve autour de l'église.
Il contient un calvaire daté entre 1560 et 1580. Il a été classé Monument Historique en 1913 (restauré en 1986 et 2006)
 


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La-Neuville-Chant-d'Oisel
Le cimetière se trouve au sud et au sud-ouest de l'église


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Le-Houlme


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Le cimetière se trouve au nord-ouest de l'église.
 
Le-Trait
Ce n'est qu'en 1514 que la paroisse obtint son autonomie et c'est de cette époque que date le cimetière.
Il se trouvait autour de l'église. Il a été ensuite déplacé derrière celle-ci.
 


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Les-Authieux-sous-le-Port-Saint-Ouen


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Le cimetière est situé au nord de l'église. A la base de la tour du clocher, une inscription datée de 1720 porte :

« Passant ne penses-tu pas passer par le passage,
Où passant, j'ai passé ?
Passant si tu n'y penses, tu n'es pas sage ;
Car n'y pensant pas, tu te trouveras passé."

 
Malaunay

Il y avait des cimetières autour des trois églises qui desservaient les paroissiens de l'actuelle ville de Malaunay.
L'ancien cimetière de la paroisse de Notre-Dame-des-Champs a été racheté à la commune et à la Compagnie de chemin de fer par J.-B. Léonard Dehors qui en fit la nécropole de sa famille. Il y avait fait édifier une chapelle en brique. Un monument formé d'un socle polygonal surmonté d'un fut supportant une urne funéraire matérialise la tombe des Dehors.
En 1865, la propriété a été léguée à la commune à condition qu'elle entretienne la chapelle.
Le cimetière actuel est situé au sud-est de la commune, sur une hauteur dominant la vallée.


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Maromme


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Il y avait un cimetière autour de l'ancienne église Saint-Martin de Maromme. Les notables étaient inhumés dans l'église elle-même. Ce cimetière devenu trop petit et en pleine zone urbaine, on décida, en 1827, la création d'un nouveau cimetière. Il a été béni en 1830 par le curé Sellier
Le nouveau cimetière se trouvait au bas de la côte de" la Mayne", au carrefour de la côte de la Valette.
A partir de 1830, les inhumations autour de l'église furent interdites.
En 1854, on décida d'agrandir le cimetière en achetant le terrain appartenant à un certain Clouet. Ce dernier fit des difficultés et c'est en 1855 que la décision de l'aliénation fut prise. Ce n'était pas suffisant et ce nouveau cimetière s'avéra rapidement trop petit et malcommode. Il fallut se résoudre à le transférer à nouveau. En 1856, une nouvelle proposition était faite au Conseil : l'achat d'un terrain situé au milieu de la côte, avenue du Val aux Dames. l'opération prit un certain temps et ce n'est qu'en 1870 que les travaux de construction de l'actuel cimetière commencèrent. Les premières inhumations eurent lieue en 1871.
Des agrandissement s'avérèrent nécessaires, ainsi que des aménagement pour palier aux inconvénients de la pente très prononcée. On construisit une série de terrasses. En 1945 un agrandissement important fut décidé. Il a été réalisé en 1946 par des équipes de prisonniers allemands.
Un cimetière milité fut créé pour recevoir els dépouilles des soldats morts pendant les guerres. celles de la guerre 1914-1918 fut ramenées de l'ancien cimetière .

 
Mesnil-Esnard
Le cimetière se trouve derrière l'église Notre-Dame.


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Mesnil-sous-Jumièges


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Le cimetière entoure l'église.
 
Mont-Saint-Aignan
Jusqu'en 1790, le cimetière du Mont-aux-Maldes se trouvait entre les deux église Saint-Jacques. A cette époque, les religieux du prieuré le déplacèrent dans la plaine, le long du chemin menant à Dieppe.
Vers 1975, l'ancien cimetière du Mont-aux-Malades a été déplacé. Il est maintenant installé au nord de la commune, au long de l'avenue du Bois-des-Dames.


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Montigny

 
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Le cimetière occupe le terrain autour de l'église.
 

 
Montmain
Le cimetière se trouve derrière la petite église Saint-Nicolas.


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Moulineaux


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Le cimetière occupe le terrain autour de l'église. Une partie se trouve en terrasse, au nord.
 
Notre-Dame-de-Bondeville

L'ancienne église avait son cimetière comme on le voit sur certaines gravures anciennes.
L'actuel cimetière a été déplace sur les hauteurs à l'est, au delà de la voie ferrée.


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Oissel


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Un cimetière mérovingien a été localisé aux alentours de la Mairie. On a retrouvé des sarcophages de pierre.
L'église Saint-Martin d'Oissel était entourée de son cimetière.
Le cimetière actuel se trouve au nord-ouest de la ville. Le terrain a été acquis en 1827, au triège des Mornons. Le 14 mai 1827, le curé reçut interdiction d'enterrer dans l'ancien cimetière. La première tombe fut celle d'un maçon qui avait travaillé à l'érection des murs, Antoine Panier. La bénédiction n'avait pas encore eu lieue
Le cimetière possède un carré militaire contenant les corps des soldats d'Oissel morts pendant la guerre 1914-1818.

 
Petit-Couronne

Le cimetière est situé au sud-est de la commune.
Il possède un carré militaire.
On y trouve la tombe de la famille Cordonnier qui figure parmi les bienfaiteurs de la commune.


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Petit-Quevilly


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Le cimetière se trouvait dans un enclos autour de l'église paroissiale consacrée en 1509. Ce terrain ne laissait qu'à peu près 900 m2 pour les sépultures.
L'augmentation de la population amena en 1826 la création d'un nouveau cimetière sur un terrain au triège des Chiquet. Mais l'affaire traina en longueur. C'est en 1831 que l'on décida l'achat d'un terrain situé au nord-est de la commune. Ce terrain de 3.960 m2 a été jugé propre à l'usage. Il a été inauguré en 1832
Le cimetière a accueilli le Monument aux Morts de la guerre franco-prussienne de 1870. Il a été élevé grâce à une souscription publique en 1893. Il est entouré de huit tombes sous lesquelles ne reposent pas de corps. On a honoré au même lieu des morts des autres guerres.
Un autre monument aux morts des guerres est élevé de part et d'autre de l'entrée.

 
Quevillon
Le cimetière est autour de l'église. Une extension est en cours en direction du nord-ouest.


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Quévreville-la-Poterie


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Le cimetière entoure l'église.
 
Roncherolle-sur-le-Vivier
Jusqu'en 1854, le cimetière se trouvait autour de l'église, dans le centre du village.
Le cimetière moderne est au sud du bourg.


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Sahur


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Comme l'église Saint-Sauveur, le cimetière de Sahrs est loin du centre du village. Il est installé sur une terrasse qui domine la Seine.
Un monument est la sépulture des propriétaires du château de Brévedent dont l'église était la chapelle avant la Révolution.
Une extension vers l'est est en cours.
 
Saint-Aubin-Celloville
Le cimetière entoure l'église.


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Saint-Aubin-Epinay
La commune résultant de la fusion de deux communes, elle a gardé deux églises et leurs cimetières respectifs.


Cimetière de Saint-Aubin


Cimetière d'Epinay

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Saint-Aubin-les-Elbeuf
L'ancien cimetière se trouvait autour de l'église. Il a été transféré en 1832 pour permettre l'agrandissement de l'édifce.
Le cimetière se trouve aux Foudriots. Une extension est en cours de l'autre côté de la rue de la Marne.


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Sainte-Marguerite-sur-Duclair


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L'ancien cimetière se trouvait au centre du village, autour de l'église.
Le cimetière actuel est au nord du village, au bord de la route de Saint-Paër.
 
Saint-Etienne du Rouvray

Le cimetière de l'avenue du Val-l'Abbé contient la tombe Larson-Couture. Elles renferme les corps de deux résistants, Pierre Larson et Roland Couture, fusillés par les Allemands le 29 mai 1942.


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En 1855, on résolut de faire un cimetière particulier pour l'Asile Départemental de Quatre-Mares. L'année suivante, on acheta un terrain situé sur la commune de Saint-Etienne, appartenant à Mme veuve Bréard.
 
Saint-Jacques-sur-Darnétal


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Une croix richement travaillée orne encore le cimetière. Elle porte le Christ sur une de ses faces et la Vierge sur l'autre.
Une croix du XVIe siècle est le souvenir de l'ancien cimetière de Quévreville-la-Millon, paroisse réunie à Saint-Jacques. Elle est très simple : une croix de fer est plantée sur un fût posé sur un embase.

 
Saint-Léger-du-Bourg-Denis

L'ancien cimetière se trouvait autour de l'église. Il s'étirait en longueur à la base du plateau. Il est encore utilisé et s'appelle maintenant le Cimetière Nord.
vers 1830, l'abbé Godefroy améliora le cimetière en y faisant tracer à se frais des allées et fait planter des tilleuls (supprimés dans les années 90).
Pour obéir à la loi qui prescrivait de créer des enclos séparés pour les différentes confessions, on décida en 1852 de consacrer une partie du cimetière, à l'est, aux inhumation des personnes de religion protestante. La mesure fut rapportée à la fin du XIXe siècle quand la loi interdit cette ségrégation.
Le cimetière a été agrandi pendant la guerre franco-prussienne de 1870. On a taillé dans le coteau pour faire de la place. Il a été entouré de haies vives en 1874.
Un nouveau cimetière a été créé au sud-est de la commune. Après un premier projet au nord est de la commune (Val Engrand) qui ne put aboutir pour des raisons d'hygiène et d'esthétique, on décida la construction du Cimetière sud, au Val-aux Daims. Lancé en 1984, les premières inhumations datent de juillet 1989.


L'ancien cimetière



Le nouveau cimetière
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12 sépultures historiques se trouvent dans le cimetière : les anciens maires, les curés, les familles Waddington et Lavoisier.
Saint-Léger du Bourg-Denis de A à Z, 2001, p.68-70.
 
Saint-Martin-de-Boscherville


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Les fouilles de jacques Le Maho ont montré qu'un ancien temple gallo-romain avait été transformé en chapelle cimetériale au haut moyen âge. Ce cimetière a été abandonné lors de l'installation d'un communauté de chanoines, qui devint abbaye bénédictine au XIe siècle.
C'est autour de l'ancienne église Saint-Martin que se firent les inhumations jusqu'à la Révolution. On inhuma ensuite au sud de l'église abbatiale Saint-Georges transformée en église paroissiale.
Un nouveau cimetière a été créé au sud-ouest du village.
 
Saint-Martin-du-Vivier
L'ancien cimetière se trouvait autour de l'église.
Un nouveau cimetière a été ouvert au nord-ouest de la commune.


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Saint-Paër


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Le cimetière était situé autour de l'église.
C'est en 1900 qu'il a été transféré. Le nouveau cimetière est situé en plein champs, à l'est de la commune.
 
Saint-Pierre-de-Manneville
L'ancien cimetière était situé autour de l'église paroissiale. Il en reste une croix.

Le cimetière actuel est situé à l'est de la commune.


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Saint-Pierre-de-Varengeville


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Les paroisses qui ont formé Saint-Pierre-de-Varengeville avaient chacune leur église et leur cimetière.
Après la destruction de l'églsie Notre-Dame, en 1834, le cimetière resta encore utilisé jusqu'en 1902.
Le cimetière Saint-Pierre était au XIXe siècle le principal cimetière de la commune (1100 m2) Une partie en fut déclassée en 1877 pour élargir un chemin. Il a été désaffecté en 1902, mais les derniers monuments funéraires ne furent enlevés qu'en 1961.
Un nouveau cimetière fut créé par décision du conseil municipal en 1900. Il se situe au sud du village.
Vingt soldats allemands y avaient été enterrés pendant la seconde guerre mondiale. Ils ont été transférés à Saint-André-de-l'Eure en 1959.
 
Saint-Pierre-les-Elbeuf
Le cimetière est situé au sud de la ville.


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Sotteville-lès-Rouen


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Jusqu'en 1786, le cimetière se trouvait autour de l'église. L'accroissement de la population détermina à cette date les trésoriers à acheter à un certain M. Banse un terrain situé non loin de là. On y accédait par une sente dite du Buet. L'entrée était toutefois sur le terrain d'un particulier, M. Guyot, il s'ensuivit procédures et tracasseries. En 1791, Guyot fit creuser un fossé devant l'entrée. Ce n'est qu'en 1797 que l'entrée fut reportée en face de la sente du Buet.
L'ancien cimetière de la commune se trouvait à l'est de la ville, près des installations du chemin de fer. L'urbanisation du secteur, les gênes occasionnées et le manque de place amenèrent à un déplacement en 1856.
Deux emplacements furent proposés : le long de la voie Caroline ou le long de la voie Girardin (Voie aux Vaches). C'est cette deuxième option qui a été choisie. Il s'agissait d'un terrain de 4 ha. la ville contracta un emprunt de 30.000 frs. On trouva que la superficie était exagérée par rapport aux besoins et on réduisit la superficie du cimetière à 3 ha. Cela permettait de réduire l'emprunt à 25.000 frs (1857)
L'ancien cimetière a été cédé par la commune à la Compagnie de l'Ouest en 1881. Un atelier affecté au travail des roues et un magasin y sont édifiés en 1884-1885.
En 1891, un comité érigea dans le cimetière un monument aux soldats morts pour la Patrie.

 
Sotteville-sous-le-Val
Le cimetière est situé au nord et au sud de la petite église du village.


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Tourville-la-Rivière


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Le cimetière est situé au sud de l'église.
 
Val de la Haye

La commanderie des Templiers de Val-de-la-Haye avait sa chapelle où furent inhumés les commandeurs de l'ordre. On a retrouvé la pierre tombale de des Avernes.
Le cimetière communal est resté près de l'ancienne église paroissiale Saint-Jean-Baptiste juchée sur la hauteur au nord de la ville. En 1902, une nouvelle église paroissiale avait été édifiée au centre du village.
Une tombe se distingue particulièrement. Sur une stèle dressée git les débris d'un avion. C'est la tombe des frère Duret morts pour la France (Max en 1926 et Jacques en 1948). On trouve aussi plusieurs tombes de capitaines au long cours.


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Yainville


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Le cimetière est autour de l'église du village
 
Ymare
Le cimetière est autour de l'église du village.


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Yville-sur-Seine


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Le cimetière est autour de l'église du village.

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